Nous partîmes (séparément) 12 Cycl’Hops pour nous retrouver finalement une soixantaine venus de toute la France au plus fort du week-end. Comme l’an dernier, organisation impeccable, ambiance chaleureuse, les footeux en moins (on ne va pas s’en plaindre) ;-)
Au menu de cette année :
Hockey, tir à la corde, pétanque, foot (pas facile de taper dans la balle depuis un mono, j’y laisse quelques rayons),
promenade les yeux fermés : un monocycliste les yeux fermés, un autre qui le guide pour passer dans des portes en faisant des bruits pour le diriger (défense de dire "à droite", "à gauche", "tout droit", ...). Imaginez, des spectateurs ont même imité les bruits pour donner de fausses indications. Non mais des fois !
chat perché dans la zone de trial : défense de rester plus de 5 secondes sur un même obstacle, ça complique le jeu tout de suite et ça met beaucoup de rythme
chaises musicales. Comment, vous n’avez pas vu les chaises ? ce sont les cailloux par terre...
pendant ce temps, certains boudent et restent sur place, comme Olivier !
éclatement de ballons : le dernier avec un ballon encore intact gagne. Yoggi a tout compris, il attache plusieurs ballons sur son mono. Oui, ce sont des ballons et non pas des... enfin, passons !
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Dans la soirée, parade dans Forcalquier, puis bal piéton et mono. On arrive à faire des choses avec le mono, mais faut s’accrocher un peu... et faire attention aux tibias des piétons avec nos pédales ;-)
Re-hockey le matin, puis tout le monde déménage vers les Moures.
Antoine vit un grand moment de solitude, se demandant comment il va bien pouvoir utiliser ce machin mono-roulant. Comme s’il ne savait pas !
D’autres font des bonds partout, à croire que le site a été inventé exprès pour les trialistes
Le retour se fait sous forme d’une "promenade" d’orientation. Certains ont compris "course" et sont rentrés à toute vitesse. Nous, nous prenons notre temps, admirons le paysage, goûtons tranquillement au pied d’une balise. Nous arrivons bons derniers, mais les glideurs s’en donnés à coeur joie pendant plus d’une demi-heure dans une descente avec un beau revêtement tout neuf.
Une scène ouverte, avec jongleurs, "flateux" (3 jeunes qui se sont lancés dans le grand bain, chapeau à eux), ... Un concert clôt la soirée, retour à mono sous la pluie, coucher sous la tente et l’humidité : c’est la vie !
Le temps d’un basket le matin, puis nous donnons un coup de main pour démonter, nettoyer et ranger. Vivement l’an prochain pour la 3ème manche ;-)